L’orgasme prostatique, qui diffère de l’orgasme éjaculatoire, est un sujet peu abordé, pourtant il peu « changer la vie! »
« Je n’en avais jamais entendu parler comme un organe de plaisir. »
« Je ne connaissais même pas la prostate, parce qu’on en parle jamais, ou quand on en parle c’est à la télé dans des reportages sur le cancer de la prostate par exemple. Je n’en avais jamais entendu parler comme un organe de plaisir. Je me suis donc dis qu’il fallait que j’essaye. » explique Adam, 36 ans, au micro de France Culture pour le podcast Les Pieds Sur Terre.
Pour autant, Adam n’en parle pas à ses amis, c’est un sujet qu’il aborde exclusivement dans son couple. Mais cette découverte qui « a changé sa vie », requiert tout d’abord d’habituer le corps. Il le fait par des « sessions » en solitaire : « Les hommes n’arrivent pas à lâcher prise parce qu’un homme fort, c’est un homme qui maîtrise, qui est puissant. Or, là, il faut lâcher prise. »
« Lorsqu’il est seul, l’homme peut se stimuler la prostate en appuyant avec le pouce sur la paroi rectale antérieure et en massant vers le bas en direction de l’anus. La meilleure position consiste à s’allonger à plat dos, les genoux ramenés vers soi et les pieds à plat sur le lit et de s’introduire un doigt dans l’anus et de replier l’index en direction du sexe. » explique Éric Rémès dans le journal Libération.
Orgasmes prostatique et éjaculatoire peuvent être simultanés
Si Adam explique que le premier orgasme est « difficile à avoir », par la suite ils viennent plus facilement et peuvent s’enchaîner, voir se vivre simultanément avec un orgasme éjaculatoire. Cette pratique a changé sa sexualité de couple également : « C’est très proche de l’orgasme féminin donc se sent plus proche de son plaisir (celui de sa compagne, NDLR). »
En outre, il explique que cette pratique requiert, tout autan qu’elle permet de développer de l’humilité, une introspection de son corps et une meilleure connaissance du fonctionnement de celui-ci.
La recherche du plaisir est quelque chose de personnel et toutes les pratiques ne plaisent pas. J’ai du mal à ne pas voir une influence fallacieuse dans cet article qui pourrait être écrit par un idéologue LGBT :
« Les hommes n’arrivent pas à lâcher prise », « elle permet (à l’homme) de développer de l’humilité, une introspection de son corps »…
Je m’adresse à mes freres de genre. Les gars il etait temps d’arreter de faire l’autruche sur un sujet qui nous concernent tant sur le plan anatomique que celui du plaisir. Ne voulant pas mourir idiot sur ce sujet, avec ma cherie partenaire nous avons aborder ce sujet avec methode. L’usage d’un gode ceinture s’est révelé edifiant sur le sujet anatomique et jouisant du coté plaisir pour elle dans son role de dominante, mais totalement nul pour ce qui me concerne. Eh non j’ais pas jouis! mais appris plus sur ma prostate à mon age.Messieurs ce role de dominé vous sera rendu au centuple en plaisir par votre partenaire croyez moi !!!!