Où et comment toucher un homme pour lui faire perdre la tête?

Pour faire perdre la tête à votre partenaire, on va s’intéresser aux zones érogènes. On distinguera les « primaires », des « secondaires », qui varient au niveau de la sensibilité. 

Où?

D’abord regardons les zones érogènes secondaires, qui seraient une première étape pour faire monter le désir crescendo. Mais libre à vous de choisir la stratégie que vous préférez, selon l’ambiance vous pouvez allez directement au deuxième paragraphe…

Les zones érogènes secondaires sont les parties du corps éloignées des organes génitaux. Ces zones peuvent varier d’un homme à l’autre et dépendent de la connaissance intime du partenaire. 

Mais en général, les hommes sont sensibles aux stimulations dans le cou et la nuque. Les mamelons, les lobes de l’oreille, les orteils et l’intérieur des cuisses sont également des zones érogènes. Les fesses sont également riches en terminaisons nerveuses, ce qui les rend particulièrement sensibles et érogènes.

Passons maintenant au vif du sujet : les zones érogènes primaires chez l’homme comprennent les parties du corps entourant les organes génitaux. Le gland du pénis est la zone la plus sensible et stimuler cette partie augmente l’excitation sexuelle. Les testicules, la tige du pénis, l’arrière du scrotum et le pubis font également partie des zones érogènes importantes. 

Comment?

Sur les zones érogènes primaires, une manipulation particulièrement douce est nécessaire, car ces parties sont sensibles et fragiles. La stimulation du pubis est considérée comme un prélude au plaisir avant de stimuler le pénis lui-même. 

Mais il n’existe pas de méthode universelle pour stimuler une zone érogène. Chacun réagit différemment en fonction de ses désirs et fantasmes. Certaines personnes préfèrent les caresses manuelles, tandis que d’autres sont plus sensibles aux baisers et au contact de la bouche sur leur peau. Pour certains, de simples effleurements peuvent suffire pour exciter les zones érogènes, tandis que d’autres hommes préfèrent des stimulations plus intenses comme les pincements ou les mordillements. 

L’important est de découvrir les préférences individuelles de son partenaire et de communiquer pour trouver ce qui procure le plus de plaisir.