Le collectif artistique Lundy Grandpré montre actuellement à Lyon « 25 façons de faire l’amour à la terre »…
La mairie de Lyon soutient financièrement Lundy Grandpré, une structure adepte de l’« écosexualité ».
Un lien entre la sexualité et l’environnement
Le maire Les Républicains du 2e arrondissement de Lyon, Pierre Olivier, a partagé mardi une vidéo dans laquelle on voit un homme nu, à quatre pattes, se déplacer au milieu de sextoys devant une vingtaine de personnes, dont plusieurs enfants.
Les deux artistes se veulent écoféministes, un courant de pensée qui relie « les oppressions subies par les femmes à celle que l’humain exerce sur la planète ».
Il s’agit d’un mouvement existant depuis 2008, qui revendique un lien privilégié entre la sexualité et l’environnement.
« 25 façons de faire l’amour à la terre »
Une liste avec « 25 façons de faire l’amour à la terre » a par ailleurs été publiée sur le site officiel du mouvement.
Ces deux femmes précisent dans leur ouvrage « Manifeste de l’écosexe » que toute personne peut s’identifier comme écosexuelle, au même titre que tout le monde peut s’identifier comme LGBTQI +.
Si les deux créatrices du mouvement voient l’écosexe comme un acte « très politique », elles y voient aussi un acte d’amour et surtout une œuvre d’art.