Selon la justice française : sucer n’est pas tromper

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C’est une affaire qui restera dans les annales de la justice : « Sucer n’est pas tromper », tel fut le verdict du juge Borner à Perpignan. Cependant, les résultats d’une étude sur l’infidélité dans le couple pourront vous aider à anticiper la réaction de votre partenaire, au plus près de la réalité…

« Une fellation ne représente pas une violation du serment de fidélité sacré par le mariage »

Connue sous le nom de l’affaire Olson en 2015, Maître Sauderberg défendait sa cliente Jenny White (Olson), dans le cadre d’un divorce demandé par son mari pour cause de tromperie avérée. Celle-ci aurait, en effet, fait une fellation à son supérieur. Mais Maître Sauderberg avait justifié l’acte de sa client comme étant « une petite concession faite pour obtenir une évolution de carrière plus rapide ». 

En effet, expliquant le contexte de surendettement du couple, Jenny justifiait de l’acte dans le but d’aider la famille à s’en sortir financièrement. Ainsi, le juge Borner donna le verdict surprenant : « Une fellation ne représente pas une violation du serment de fidélité sacré par le mariage ».

Attention, tout de même…

L’information reste à prendre avec des pincettes. Bien que le cas puisse faire jurisprudence devant les tribunaux, des sondages pourront vous éclairer sur une potentielle réaction de votre partenaire en dehors de la justice… En effet, selon un sondage Ifop (2016) : 

  • pour 8 personnes sur 10 : « Embrasser, c’est tromper »
  • pour 4 personnes sur 10 : « Avoir embrassé quelqu’un d’autre » est un motif légitime de rupture
  • Pour 3 personnes sur 4 : « Sextoter, c’est tromper »

À bon entendeur… 

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