Les repas de famille et les moments intimes : quand l’un des deux peut être ennuyeux et interminable, à tel point qu’à la fin, on en peut plus ; le second est beaucoup plus court et se partage avec tendresse. Si les deux univers paraissent s’opposer, il se rejoignent pourtant sur certains « éléments de langage » :
- Ça a le même gout que celle de ta mère.
- C’est quoi cette odeur?
- On ne parle pas la bouche pleine.
- C’est un peu sec.
- On aurait peut être dû le réchauffer avant.
- Si tu le lèches, tu finis.
- Je suis content qu’on soit restés à la maison plutôt que de prendre la voiture et de devoir payer pour la même chose en ville.
- Pardon, j’en ai mis partout.
- Tu veux que je te mettes un glaçon dedans?
- L’astuce est de ne pas mettre le concombre trop tôt dedans.
- Tu vas vraiment mettre tout ça dans ta bouche?
- Je ne sais pas comment t’as fait ça mais c’était incroyable.
- Ouah, va plus doucement c’est pas une course.
- T’as eu déjà bien pire dans ta bouche.
- C’est vraiment cool qu’on puisse être les 4 réunis, comme ça!
- Comment tu peux dire que tu n’aimes pas si t’as jamais essayé?
- Arrêtes de jouer avec et mange le!
- C’est meilleur avec de la crème fouettée.
- Ça n’a pas augmenté autant que ça aurait dû.
- La prochaine fois on devrait inviter les voisins!
- J’ai appris cette petite astuce sur internet.
- C’est plus salé que ce que j’imaginais.
- Fais attention à pas t’étouffer avec!
- Je préfère un peu rose au milieu.
- J’avais dit pas saignant!
- Très bonne cette dinde!
- Tu pourrais faire payer ça assez cher.
- Ça te dérange pas si je regarde le match pendant que tu finis?
- Je dois être honnête ça avait l’air meilleur que ce que j’ai gouté.
- Je suis désolé, je l’ai pas retiré à temps.
- J’espère que ça te dérange pas si ma cousine Caroline se joint à nous.
- Pourquoi t’es toujours le dernier à finir?
- Il t’en reste un peu sur le coin de la bouche.
- On ne recrache pas ! Quand c’est dans la bouche, on avale !